Mount Isa est une drôle de cité 😳
A part un seul bon resto qui fait aussi office de casino, il n'y a pas grand chose à faire 😅
Heureusement que nous avons pu profiter de la piscine de l'hôtel accompagnée de merveilleuses James Boags de Tasmanie 🍻
Dommage que notre passagère a oublié son deux pièces dans la chambre de notre dernier hôtel, n'est-ce pas Zuza 😂😂😂
Il semble que la ville et son aérodrome n'ont été placés ici que pour desservir les immenses installations minières extrayant la deuxième plus grosse quantité de zinc, cuivre et plomb d'Australie...
Notre voyage se poursuit sur la route... "240°" qui nous offre de magnifiques vues de terres bien... vertes !
Nous nous attendions à des couleurs plus ocres mais, le dérangement climatique aidant, il semble que ce sont les précipitations qui ont pris le dessus ici 😳
Les belles rangées de montagnes effilées nous rappellent toutefois que nous sommes dans le désert. Il ne ferait pas bon devoir poser ici en raison d'une panne moteur. Rien ni personne à l'horizon !
De plus, l'air y extrêmement sec et chaud, si bien que nous prenons de grosses et régulières turbulences 😖 L'auto-pilote a bien de la peine à gérer ces violentes ascendances et descendances...
Heureusement, Eole est avec nous 😇 Les vents soufflant de l'Est nous poussent si fort que nous faisons des pointes de plus de 140 knots alors que notre Indicator Air Speed reste collé à 120 😅
La veille, nous aurions dû utiliser une partie de notre réserve si nous avions eu le même vent mais... inversé 😳
Initialement, nous avions prévu passer par Normanton. Impossible toutefois en raison d'une météo complètement bouchée 😳
Mais Alice Springs est "déjà" en vue.
En deux jours, nous avons effectué pas moins de la moitié du territoire australien sur sa longueur (4'500 km au total).
Eprouvant quand même 😅
C'est donc avec soulagement que nous atterrissons sur la Runway 12 du magnifique et touristique aéroport national d'Alice Springs.
Bien que le hall de l'aéroport soit pratiquement désert, les nombreux avions de ligne parqués sur le tarmac sans être utilisés nous rappelle une dure réalité. Manifestement, l'aviation de transport n'a pas encore retrouvé l'entier de sa clientèle...
Pendant que nous réservons notre 4x4 et le motel, le pilote remplit sa paperasse. Après chaque vol, il doit informer Moorabin sur nos heures de vol et le fuel consommé.
Inutile de dire que ça n'est pas la partie du job qu'il préfère 😂 😂 😂
Il nous faudra bien une bonne nuit de repos - après la bière - pour nous lancer dans le désert !



















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